Autopsie d’un premier roman

Cela fait déjà plusieurs semaines que j’ai terminé « Autopsie d’un amour », le premier roman de Frédéric Joncheray. Mais je n’avais pas eu le temps, ni pris le temps de me poser pour donner mon ressenti sur ce livre. Critique.

La lecture est une activité que je pratique de temps à autre. On ne peut pas dire que je suis un grand lecteur, mais, parfois le soir avant de m’endormir j’aime bien me plonger dans un bon bouquin. Pour « Autopsie d’un amour » c’est un peu particulier puisque je connais personnellement l’auteur. C’est d’ailleurs la première fois que je lis le livre d’un écrivain que je côtoie au quotidien puisque… je travaille avec cette personne.

L’annonce sur Facebook de la publication de son roman a été une grande surprise pour moi. Il nous avait caché son projet jusqu’au bout. Mais dès qu’il a fait cette annonce j’ai tout de suite eu envie d’acheter le livre. Peu importe le sujet ou le thème je voulais soutenir mon collègue qui s’est lancé dans cette aventure. Et franchement je ne regrette pas.

Je ne dis pas ça parce que Fred est mon collègue, mais « Autopsie d’un amour » mérite vraiment d’être lu. L’histoire est belle et très bien racontée. Les personnages sont attachants. Il y a beaucoup d’amour et d’action. Mais aussi du suspens, de l’humour et de la spiritualité. Il y a également un sujet fort sur la condition féminine et plus particulièrement l’esclavage sexuel.

Dans la biographie de l’auteur sur Amazon on peut y lire « Frédéric Joncheray est journaliste en Nouvelle-Calédonie, ancien officier de la Marine nationale, féru de voyages, de belles rencontres et de spiritualité ». Il se trouve que le héro du livre (Julien) s’engage dans la Marine nationale et que pendant son ‘‘séjour’’ à Mitrovica il rencontre un Calédonien. Des références évidentes à la vie de l’auteur, mais je ne sais pas jusqu’à quel point Fred a romancé son parcours dans ce livre qui nous fait voyager jusqu’au Vietnam, même si la majeure partie de l’intrigue se déroule au Kosovo pendant la guerre des Balkans. Il y a également des passages à Amsterdam et à New York.

Comme je le disais l’histoire est bien racontée. L’auteur a su nous plonger dans son récit. Quand tu n’as pas envie de t’arrêter de lire et que tu as hâte d’être au lendemain pour continuer l’histoire c’est bon signe. L’écriture est fluide. Il y a des annotations pour comprendre le vocabulaire spécifique de la Marine.

Je ne peux donc que vous conseiller « Autopsie d’un amour », le premier livre de Frédéric Joncheray. Rendez-vous sur Amazon (mais pas uniquement) pour commander ce roman publié en auto-édition ou sur la page Facebook « Autopsie d’un amour » pour plus d’information.

En espérant que cet article porte chance à l’auteur de ce livre. Il y a quelques années j’avais été l’un des premiers à parler de l’humoriste Haroun aujourd’hui son spectacle est disponible sur Netflix. Récemment je vous avais présenté l’application australienne 8secondz. Aujourd’hui, c’est l’une des applis les plus téléchargées en Inde. Peut-être qu’un jour Frédéric Joncheray remportera le Prix Goncourt où l’un de ses romans sera retranscris sur grand écran. Il est permis de rêver.

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